Depuis près de 20 ans, GESTEAM apporte aux professionnels de l’immobilier les solutions pour faciliter et optimiser l’activité de leur cabinet. PME 100% française, la société anticipe les changements pour offrir aux directeurs d’agence, performance, efficacité, productivité, réactivité grâce à la digitalisation.
Le digital est en train de transformer les métiers de l’immobilier. Comment aider les professionnels à s’adapter ?
Les activités de l’immobilier sont complexes par définition. La digitalisation est un défi qui laisse parfois espérer une simplification des métiers. Beaucoup de directeurs de cabinets attendent une solution toute faite à leur problème. Ils se laissent leurrer par des promesses simplistes. Ils perdent alors de vue la stratégie pour des choix d’esthétisme ou de prix. Ce travers concerne même les structures importantes. L’informatique ne doit pas être considérée comme un fournisseur mais plutôt comme un acteur de la transformation numérique du cabinet. Il faut donc un échange, un partenariat, une relation de confiance. Finalement, nous sommes assez proches de ce que les syndics demandent parfois à leurs copropriétaires. Chez GESTEAM, nous travaillons avec cette vision, pour transformer digitalement le cabinet, valoriser cette entreprise en permettant la mise en place de process efficients. Souvent on nous contacte pour un devis. On veut comparer le coût de nos prestations. Pourtant, avant celle du coût, la question devrait plutôt être : un outil digital pour quoi faire ?
Justement, que devraient attendre les directeurs de cabinets de la digitalisation ?
L’immobilier est un métier de traitement de masse dans un environnement très diversifié. Les structures sont petites. Il n’y a souvent ni DRH, ni DAF. La pression est très forte tant sur les gestionnaires que sur le dirigeant. La digitalisation peut et doit apporter de meilleures recettes et une meilleure maîtrise des coûts. Elle constitue donc un gain d’efficacité, dans un métier souvent sous tension. Il faut donc se concentrer sur la couverture fonctionnelle (ce que peut permettre le logiciel) et l’utilisabilité des fonctions (la facilité de prise en main). Aujourd’hui, l’enjeu est de pouvoir agréger des données d’origines et de technologies très variées afin de développer les synergies, les collaborations et l’échange d’information. Nous sommes à l’ère de la diversité technologique, avec des logiciels, des connections, des paramétrages multiples. Pourtant aujourd’hui les directeurs doivent penser globalement, avec une vision large sans se perdre dans les détails. Le temps presse. Dans cinq ans, la digitalisation aura tout changé ! Le métier se fera différemment.
Qu’est-ce qui va changer exactement? Les syndics auront toujours le même rôle…
L’enjeu des cinq prochaines années va reposer sur la capacité à utiliser, à agréger, à unifier les données, les documents et autres informations. Il y aura les cabinets qui auront accompli cette démarche et seront par conséquent plus productifs, plus efficaces. Ils pourront retracer des demandes clients, connaître les historiques des interventions, automatiser les facturations, pré-rédiger des lettres, classer automatiquement les demandes en fonction des urgences… C’est ce que propose GESTEAM. Il y aura les autres cabinets, ceux qui n’ont pas voulu ou pu faire ce pas vers le numérique. Ils ne pourront plus suivre. L’intégration des données entre fournisseurs, clients et les collaborateurs devient clé. Il faut que l’information circule ensuite, selon des règles et des process précis, pour permettre aux gestionnaires et à leurs collègues de se concentrer sur le fond de leur métier, l’expertise immobilière et le relationnel. Pour être clair, permettre simplement au gestionnaire de répondre et réagir aux multiples sollicitations des clients, de suivre la bonne fin de tous ces échanges ou demandes, et enfin d’appliquer la tarification adéquate. Il s’agit d’optimiser la valeur des gestionnaires, des personnes souvent très qualifiées, auxquelles on demande de tout faire, même des tâches très simples. Le relationnel et surtout le décisionnel en seront facilités par une vision synthétique de l’activité.